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Le mot du président Chers voisins, chers lecteurs, Ce 4ème numéro du SARMENT cette année, est encore plus complet, plus riche que d'habitude. Des nouvelles fraîches de votre quartier, des infos pratiques, le reflet des trois derniers mois écoulés, les prévisions pour les semaines à venir,... Dans un seul but : cultiver cet esprit de village que nous aimons par dessus tout. Je vous souhaite une bonne lecture, et, avec un peu d'avance, de bonnes fêtes de fin d'année. Christophe LUTZ |
FETE DE QUARTIER ![]() Une rue fleurie, un soleil généreux, un kir à température idéale, des rires et des chansons : c'était le programme de notre fête de quartier du 22 septembre dernier, il a séduit plus de 130 participants, dont bon nombre d'enfants (heureux), attablés jusqu'à 16 heures passées, à papoter, partager une tranche de terrine ou un verre de vin de groseilles ; à jouer aux questions-réponses sur le quartier, à se trémousser sur les rythme brésiliens de la Batucada (un groupe de percussionnistes), à participer à notre traditionnelle tombola.... La recette, visiblement, était au point . Les héros du jour (il y en avait tellement...) :
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DERNIERE MINUTE Les travaux de remplacement des tuyaux d'arrivée d'eau en plomb ont commencé par la rue Pierre Seguin. Une " taupe " sera utilisée, afin de ne pas faire de dégât devant nos maisons. Nous assisterons, dans la foulée, à l'enfouissement du réseau électrique. Les rues parallèles (Basch, Reclus et Vieux Château) subiront le même sort, mais le calendrier précis n'était pas arrêté au jour de la fabrication de ce SARMENT. |
UN BOULANGER DANS VOTRE RUE Chaque jour de la semaine, sauf le mardi, des coups de klaxon résonnent rue Victor Basch, vers 10H30....C'est M. Guy ROUYER, boulanger de son Etat, qui passe avec du pain frais et de la pâtisserie. M. ROUYER tient la " Nouvelle Varoise ", rue Duroc à Nancy, et se rend dans des quartiers sans boulangerie, comme le nôtre. ![]() Chaque jour, immuablement, entre 10H30 et 11H30, selon son emploi du temps, la fourgonnette blanche fait escale en haut de l'Avenue du Général Leclerc (devant les résidences de la Fosse Pierrière). Puis elle descend la rue Victor Basch, tourne avenue du Vieux Château, emprunte la rue Pierre Seguin, prend l'avenue du Reclus et retrouve l'avenue du Vieux Château avant de rejoindre sa boulangerie pour un réapprovisionnement bien nécessaire. Tous les 50 mètres, M ROUYER donne un coup de klaxon pour signaler sa présence. " Mes clients sont des habitués. Je leur propose même de laisser le pain dans un sac, et ils me règlent à la semaine ". Enfin, il vend aussi le journal, du lait et des œufs. ![]() Sympa, M. ROUYER, et en plus son pain est bon ! |
COMITE "SOL" Sans nouvelles de notre dossier depuis l'envoi du "plan de prévention des risques", nous avons repris contact avec Madame STEFAN, de la Faculté des Sciences. Elle nous a confirmé avoir transmis notre envoi aux services parisiens dont elle est sans nouvelles et qu'elle va donc relancer. A suivre ... Pierre BOSMENT |
![]() Rendez-vous, à partir de 19 h00 ![]() |
Dans la salle de l'Eglise Sainte Bernadette ![]() pour fêter le BEAUJOLAIS NOUVEAU ![]() |
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VIE DU QUARTIER Sans nouvelles des travaux prévus rue CALLOT, nous avons à nouveau pris contact, mi octobre, avec Monsieur VALDUGA de la Communauté Urbaine. Selon ses dires, une autre priorité est venue interférer et, par voie de conséquence, retarder les choses: "la réalisation d'un giratoire rue du Jardin Botanique". Toujours selon ses dires, la suite des travaux ne devrait pas, en conséquence, être entreprise avant le début de 2003...... Le danger généré par le non respect quasi permanent du stop au carrefour avec l'avenue du Vieux Château tout comme la vitesse excessive des véhicules en descente ne devant donc pas s'améliorer de si tôt, nous lui avons demandé s'il ne serait pas possible d'installer "rapidement" au niveau du stop, un de ces "ralentisseurs" qui fleurissent aux quatre coins de l'agglomération. ![]() Sa réponse a été simple : la voie est de la compétence de la commune, c'est donc là qu'il faut poser la question. Il va sans dire que le jour même nous avons interrogé Monsieur DACUNHA qui devait s'informer de la faisabilité ; à ce jour il n'est toujours pas en mesure de nous fournir de réponse précise, la décision, quelle qu'elle soit, devant passer par la C.U.G.N...... On appelle ça "le serpent qui se mord la queue" Pierre BOSMENT |
CLAUDE RIZZON N'EST PAS MORT ! Et pourtant, nous avions des craintes, tant il tardait à répondre à nos (nombreux) courriers... Rappel des faits. Lorsque la résidence RIZZON, au bas de l'avenue Jean-Jaurès, a vu le jour, dès 1997 pour la 1ère tranche, est apparue une différence de niveau de plus d'1 mètre avec les jardins des maisons mitoyennes, rue Léon Blum. Imaginez un instant que vous êtes allongé dans une chaise longue, et qu'une voiture se trouve à quelques centimètres de vous. Au désagrément du pot d'échappement, à hauteur du nez, s'ajoute la peur de retrouver le véhicule en contrebas dans votre massif de fleurs. M. RIZZON a obtenu en 1998 un permis de construire pour un mur de séparation entre son ensemble et les voisins. Ce mur devait stabiliser le dénivelé, protéger les jardins, sécuriser les riverains, embellir sa résidence. ![]() Et depuis, ce mur est érigé à la vitesse d'un escargot au galop. Un bout par ci, un bout par là. Puis, plus rien pendant quelques mois. A la faveur d'un de nos courriers, ou d'une relance du Syndic de copropriétaires (Bonnabelle), ou encore de la Mairie de Vandoeuvre, l'on découvre un peu d'enduit, de peinture sur dix-douze mètres. Puis, plus rien pendant quelques mois.... Fin octobre, après une n-ième missive, en recommandé accusé de réception, une belle rangée d'agglos nouveaux voyaient le jour. Pas de crépi pour l'instant, mais c'est pas grave : Claude RIZZON n'est pas mort. Et nous lui souhaitons longue vie ! |
PRES DE CHEZ NOUS... LA CLINIQUE SAINT-ANDRE En haut de l'avenue Jean Jaurès , dans un écrin de calme et de verdure, se trouve la Clinique Saint André. Dirigée par le Professeur Delfosse, elle est la 1ere clinique d'ophtalmologie et d'ORL de Lorraine (qui compte 23 cliniques chirurgicales). Saint André est également spécialisée dans la chirurgie du genou. 6 % de l'activité des cliniques chirurgicales de Lorraine s'y déroule. Ouverte en 1965 avec 40 lits, la Clinique Saint André s'est régulièrement agrandie, en 1967 puis 1977. En 1998, elle fusionne avec la clinique Lepois. Début 2003, après des travaux en cours, sa capacité sera portée à 111 lits, un bloc opératoire de 6 salles , pour un personnel de 145 employés (dont 50 médecins). Brigitte Receveur, Chargée de communication de la Clinique Saint André , nous explique : " l'extension de la clinique s'inscrit dans une démarche de qualité : meilleure prise en charge des patients (avec un maximum de chambre à un lit) et sécurité renforcée . Sans oublier la parution tous les 6 mois du " Petit Journal de Saint André " destiné à nos patients ainsi que la démarche qualité engagée en vue d'une certification ISO. " Madame Receveur nous a prêté des photos d'archives sur la construction de la clinique, que vous retrouverez prochainement sur notre site Internet. |


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HISTOIRE D'EAU ![]() Le vent s'envoya en l'air Avec sa petite amie courant d'air, Ce qui provoqua un tollé de tonnerres, De foudres, d'orages et d'éclairs, Car dans sa famille, l'adultère On ne l'avait pas encore reconnu, C'est qu'on avait de grands principes reçu, Que ces choses là Chez soi ne se font pas, Qu'ailleurs peut-être ceci exista... Mais jamais, oh non jamais, Dans cette bourgeoisie là ! La pauvre petite s'affola, s'enfuya, pleura, Tant et tant que la terre entière inonda ; S'ensuivit un déluge où le monde sombra. Voici comment la triste histoire d'amour D'un vent épris d'un courant d'air, Entraîna la destruction d'une planète nommée Terre ! Elisabeth REMY-EVRARD |
Recette de Marguerite et Martine Tarte aux mûres 300g pâte brisée ; 700g mûres ; 2 verres de vin rouge ; 125g sucre ![]()
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